Extraits:

J'ai rencontré Sophie, en entrant dans l'ascenseur de la tour qui abritait les bureaux de mon employeur. En un regard, c'était plié ; j'étais tombé sous le charme de ses yeux noisette. Elle m'a souri, discrètement, et j'ai fondu. Je n'ai pu détacher mes yeux de son visage, j'étais quasiment hypnotisé. Elle est sortie un étage avant le mien, je n'avais pas eu le temps d'esquisser le moindre geste.

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Il y avait donc du taf, pour Valérie. J'avais perdu mon pucelage, j'avais eu quelques aventures, mais ma pratique était bien rudimentaire, bien que déjà attentionnée et tendre. Elle a commencé à m'apprendre à m'aimer, à m'apprécier. Je me considérais comme un mec moyen, de taille moyenne, avec un visage moyen, et un corps moyen. Je faisais pas mal de sport, mais à un niveau moyen, rien de folichon, à part au ping pong où je me débrouillais très bien. Aucune compétence artistique, une voie de casserole, rien pour plaire. Et mon pénis, moyen, petit ? Je n'avais pas de comparatif, à part les revues ou les films pornographiques, alors forcement, je me sentais complexé. Elle m'avait quand même choisi parmi de nombreux autres hommes, elle m'aimait sincèrement, elle appréciait beaucoup les moments que nous passions au lit. Au début, elle n'avait pas hésité à me guider, à me faire découvrir les zones érogènes secondaires, à me montrer comment lui donner du plaisir, que ce soit avec mes mains, mes lèvres ou ma langue. J'apprenais très vite, elle n'avait plus besoin de me conseiller, elle profitait pleinement du plaisir que je lui donnais. Même si mon sexe était effectivement petit au repos, elle m'a fait réaliser combien il grandissait bien et durcissait fort, et que je n'avais donc rien à envier aux autres, bien au contraire. Elle adorait jouer avec, le caresser et le prendre dans sa bouche. Nous ne vivions pas ensemble, aussi, lorsque nous nous retrouvions, c'était de longues séances d'amour. Il nous arrivait de rester des heures, de recommencer encore et encore, jusqu'à l'épuisement.

Elle a balayé l'idée que le sexe était sale ou honteux. Au contraire, c'était beau, c'était magnifique, c'était propre, tant qu'on respectait les règles élémentaires d'hygiène. Et les menstruations ne changeaient rien, il n'y avait aucun risque, à part celui de tacher les draps.