Editeur: Edilivre - juillet 2016

ISBN: 9 782334 169547

Broché: 13 € - version numérique: 4.99 €

Le petit français

 Un immigré n'est-il qu'un étranger ? Ne peut-il être plus français que ceux qui sont nés en France, de parents et grands-parents français ?

Écrit juste après les attentats de Novembre 2015, en écho aux réactions citoyennes, « Le petit français » est une œuvre intimiste et authentique, dans laquelle je balaie avec pertinence et humour les clichés sur l'identité nationale, les immigrés, notamment maghrébins, et leur intégration : un témoignage sur ma vie durant les années 1957 à 1983, au Maroc puis en France, montrant le cheminement qui m'a mené à demander la nationalité française.

Un voyage pittoresque dans le temps, plein d'amour pour les gens et pour mes deux pays.  


Témoignage des lecteurs: 

SasaDNL 08 sept 2016 (Babelio)

Un vrai plaisir à lire... du voyage, des sensations, un parcours de vie, on a l'impression d'être assis tranquillement avec l'auteur qui nous raconte son histoire. Un très beau livre, que je recommande !

Arc En Ciel 24 août, 22:46 (FB)

"Un livre à ne pas manquer ..... de lire !!! Le Petit Français vous fait découvrir le Maroc sous ses différentes facettes, sa magnifique géographie, ses coutumes et traditions, sa religion et ses valeurs. Un enseignement totalement français, un père musulman, mais baignant dans la civilisation occidentale, une mère traditionnelle marocaine musulmane, d'où une personnalité paradoxale puisée de ces deux cultures.

Extrait:

A la rentrée, nous allions être ensemble, mes sœurs et moi, pour la première fois, dans le même établissement scolaire : le fameux Lycée Lyautey. On disait de lui qu'il était le plus grand lycée français de l'étranger. Le niveau des élèves était bon, car chaque année, il y avait deux ou trois lauréats des concours internationaux. Pour la première fois aussi, j'allais découvrir la mixité.

Cette première année, j'ai découvert les filles, et mes premiers émois pour l'une d'entre elles. J'avais acheté une petite plaque de chocolat, ce que me permettait mon maigre argent de poche ; comme je n'avais pas osé la lui offrir directement, je demandé à son frère, qui était dans la même classe, de la lui donner. Elle l'a refusée, il me l'a annoncé, en la dégustant tranquillement et ironiquement. J'ai pris ce râteau comme une grosse claque. Depuis, j'ai soupiré en silence devant les filles qui me plaisaient, sans jamais leur avouer mes sentiments. 


© 2019 Taoufik Lahkim
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